Un seul regard a bouleversé ma vie!
Jusqu’à peu j’étais totalement convaincue que je n’aurais jamais manqué de rien dans la vie! À seulement 35 ans, j’avais obtenu tout ce dont j’avais toujours rêvé en tant que femme : après quelques relations décevantes, j’avais finalement conquis le cœur du célibataire le plus en vue de Paris et j’étais mariée et heureuse.
Professionnellement aussi, j’avais atteint les cimes : j’avais travaillé dur pour passer de simple journaliste à directrice d’un quotidien assez connu et je pouvais faire pratiquement tout ce que je voulais. Entre autres, non seulement je possédais une belle villa à la périphérie de Paris, avec des domestiques qui satisfaisaient mes moindres désirs, mais aussi tellement d’argent que je n’arrivais pas à tout dépenser. Bref, ma vie était parfaite.
Pourtant quand je l’ai rencontré, ma vie a complètement changé et mon monde s’est retrouvé sans dessus dessous.
Vainqueur du test "Aventure"
Discret et sûr
Forte proportion de femmes
Plus de 75 millions de membres
Trouver une aventure extraconjugale ❱❱Pendant que nous étions au beau milieu d’une discussion plutôt pointue, tout-à-coup la porte s’est ouverte légèrement, quelqu’un a agité un mouchoir blanc et une voix malicieuse a demandé une courte trêve. Nous avons tous regardé vers la porte l’air surpris, nous avons continué de parler et « il » est entré. Grand, bronzé, un homme au corps musclé à faire palpiter le cœur de toutes les femmes.
Il s’est arrêté là. A sa vue, je suis restée bouche bée! Je me suis sentie comme foudroyée, et je n’ai pas prêté attention au fait qu’il se présente comme un nouveau collègue. Lorsque j’ai noté le silence inattendu dans la pièce, je me suis reprise de manière imperceptible, et je me suis levée pour le saluer.
Pendant que je me présentais, je pouvais sentir son regard perçant s’arrêter longuement sur moi et cela a encore augmenté ma confusion. Toutefois même si j’étais à ce point confuse, je me repris encore une fois et lui ai dit de s’asseoir. Puis j’ai tenté de fuir son regard du mieux que je pouvais, tandis que je cherchais à retrouver mon rôle de rédactrice en chef à succès. Une heure après la fin de la réunion, tout le monde avait quitté mon bureau. Tout le monde, sauf lui!
Il est resté simplement assis là, à attendre, et quand j’ai enfin eu le courage de le regarder dans les yeux, quelque chose en moi explosa à nouveau! Chaque fibre de mon corps implorait d’être touchée et désirée par lui. J’avais l’impression de ne plus avoir de volonté et je désirais simplement qu’il me prenne, ici et maintenant, sur mon bureau, et me fasse l’amour de façon sauvage et désinhibée.
Quand je me suis rendue compte de ce à quoi j’étais en train de penser, je fus choquée! Moi, qui suis d’habitude si correcte et totalement fidèle, je ne pensais à rien d’autre qu’à une aventure avec ce beau garçon, qui était en plus mon nouveau collègue de bureau. Je savais bien que pour beaucoup de mes amies l’adultère était la chose la plus naturelle du monde. C’est une chose que je leur ai toujours envié, moi je n’avais jamais remis la fidélité en question.
Même si je n’avais jamais eu d’expérience avec un amant auparavant, j’ai compris une chose : je le voulais! Ici et maintenant!
Pourtant, en fin de compte j’étais sa supérieure et je n’étais pas sensée faire l’amour avec lui! Quand j’ai eu à nouveau la situation un tant soit peu sous contrôle, j’ai compris en le voyant qu’il avait deviné mes pensées, car il se tenait là en silence, en souriant intérieurement. Il s’est levé et s’est dirigé vers moi. Arrivé à seulement quelques centimètres de moi, il a pris mon menton délicatement dans ses mains et l’a soulevé un peu, pour que je sois obligée de le regarder dans les yeux.
Puis lentement il s’est penché et m’a embrassée. Comme ça! Et moi, je suis restée là sans rien faire pour l’en empêcher! Ensuite il m’a serrée dans ses bras et a fait courir ses mains le long de mon dos. Je tremblais et je ne tenais plus sur mes jambes. Pour ne pas tomber, je me suis agrippée à lui comme une naufragée. D’un seul coup, j’ai senti mon cerveau s’éteindre et je suis devenue aveugle et sourde à tout ce qui m’entourait.
Quand il a senti que j’étais irrémédiablement dépendante de lui, il m’a poussée contre le mur et a commencé à retrousser ma jupe. Je l’ai entouré de mes jambes, pour ne pas perdre son appui, et j’ai ouvert son pantalon. A tout moment quelqu’un aurait pu ouvrir la porte, mais ce n’était pas important, parce que c’était comme s’il n’y avait que lui et moi! Comme dans un délire, on est tombés l’un sur l’autre et on s’est poussés toujours plus loin et toujours plus vite.
Haletants et gémissants, nous sommes arrivés ensemble à l’orgasme, qui nous a fait presque nous écrouler, comme après une éruption volcanique. Exténués, nous sommes restés appuyés l’un sur l’autre en cherchant à reprendre notre souffle.
Après un moment qui m’a semblé une éternité, le monde autour de nous s’est remis à tourner. Je n’avais jamais expérimenté ça de ma vie, du sexe sauvage et désinhibé à vous allumer le cerveau!
Après cette expérience, j’ai compris pourquoi mes amis se servent de leurs petites escapades comme aphrodisiaque, car je me suis sentie vivante et libre comme jamais auparavant. Quand je l’ai regardé, incertaine, j’ai su qu’il ressentait la même chose, parce que ces yeux avaient cette couleur sombre, cette lueur mystérieuse, et son regard révélait que ça ne serait pas notre dernière rencontre.
Et malgré tous mes sentiments confus, j’étais secrètement heureuse de cette promesse…
Bonsoir, superbe témoignage qui sent le vécu et l’émotion qui vous submerge encore en le racontant.
Catherine,
j’ai lu attentivement votre récit d’une relation charnelle torride, quelle merveille pour une jeune femme de rencontrer un homme pour la désirer avec sauvagerie, cela m’a donné une émotion forte, moi qui suit un homme qui aime par dessus tout la femme, sa féminité, son corps, son intimité charnelle, sa présence, sa voix.
Je n’ai pas eu cette chance de rencontrer une situation charnelle comme la votre, j’ai connu certaines femmes mais comme vous décrivez cette atmosphère charnelle dans cette salle de réunion où vous avez pris des risques et ou le désir était à son point culminant.
Excusez ma franchise, chère madame, mais en ce qui me concerne je ne crois pas un mot de votre “histoire” ! La raison ? Elle est aussi toute simple, et seul un aveugle ne verrait pas que s’il est évident que vous avez une imagination débordante, vous ne savez pas vous y prendre assez habilement pour faire en sorte que ladite imagination ressemble à la réalité. Je m’explique :
Que quelqu’un que vous n’aviez jamais vu auparavant vous “fasse de l’effet” peut se comprendre ; que ce quelqu’un vous “remarque” aussi tout de suite peut s’accepter ; que vous échangiez des regards et même des sourires peut passer ; mais qu’il ose vous “culbuter” en pleine salle de réunion où presque n’importe qui peut faire irruption à tout moment, et-surtout-que vous le laissiez faire sans sourciller, eh bien, là, permettez-moi un petit doute…Et puis, comment expliquer que, n’étant pourtant plus “simple journaliste” mais “directrice d’un quotidien assez connu”, vous puissiez vous permettre des fautes qui dénotent une grande méconnaissance de votre part de la langue de Molière ?
“Sans” (dessus dessous) au lieu de “sens”, “sensée” (faire l’amour avec lui) au lieu de “censée”, “ces” (yeux) au lieu de “ses”…Allons, allons !